Friday, May 16, 2014

Dans les WC

"Je pars bientôt. Je veux que tu portes tes poids de 50g."
Le ping de ton sms attire mon attention lorsque je travaillais sur mon Mac.
D'autres instructions se suivent : "Dans l'armoire noire, porte de haut à gauche, dans le petit rangement blanc il y a des jouets que tu connais. Cherche un cagoule avec que la bouche. Tu la portes a mon arrivée dans les WC assise. Tu portes juste tes bas, et ton collier. Il faudra que tu sois mouillée."

Toute de suite cela m'excite, et je pose les poids qui me feront mouiller sur mes anneaux... ces poids qui les tirent...
Mais aussi une excitation cérébrale:  je capte cette scénario que est la suite de notre fantasme dans le sauna gay.

Je trouve la cagoule noire dans le placard. En le mettant sur ma tête, je ressens déjà un certain anonymat, comme si j’étais une femme-objet à utiliser. J’aurais aimé me maquiller avec du rouge à lèvres en rouge écarlate, ou en rose shocking, pour paraître encore plus salope.
Le collier et les bas sont féminins et sexy, alors que les poids et la cagoule montrent ma condition d’ésclave.

Dans le pénombre des toilettes je t'attends, assise sur la lune ouverte, les jambes écartées. L'odeur de l'urine est présente — ça ne sent pas des produits d'entretien— une odeur un peu sale et lourde.

L'idée que tu me pisse dessus me traverse l'esprit. Je ne suis pas très uro, mais je verrai bien — et pour toi, je ferai ce que tu me demandes.

Un ping, un sms, me prévient que tu es arrivé dans le parking. Avec une grande respiration et le cœur qui bat, je t'attends, la tête baissée.

Tu entres à la maison, j'entends tes mouvements, le bruit des objets que tu poses. J'attends, j'entends tes pas qui arrivent enfin devant la porte des WC, cette porte qui s'ouvre.

Tu admires la scène, ton scénario. Moi, ta femme-objet assise sur les chiottes, les jambes écartées, la tête baissée. Bien sûr ta bite est dure ! Et tu soulèves ma tête pour pénétrer ma bouche, appuyant sur le mur pour mieux t'enfoncer.

"Mets-toi à quatre pattes", tu m'ordonnes.
Je t'obéisse, à quatre pattes sur le carrelage, ma tête presque dans la cuvette, comme si j'allais vomir.
Ton queue glisse dans ma chatte mouillée, ton queue qui le baisse tellement fort que les poids dansent et rebondissent, tapant l'email de la cuvette. Je recule un peu, pas envie que ces poids abîment l'email.

"Viens sur le lit", tu décides, pour un peu plus du confort pour les genoux.
Et la femme-objet est encore utilisée par son Maître dans une baise forte et sauvage, secouée par des orgasmes violents.



Thursday, May 15, 2014

Le sauna gay

Tout a commencé avec des tiges que t'as sorti de ton tiroir, ou bien peut-être tu les as préparées en avance.
Nous sommes hantés par cette idée lancée l’année dernière par le Marquis lors de la cérémonie de Marc… cette idée d'une barre unique traversante mes deux tétons pour les rapprocher ensemble.
Tes tiges sont longues, et tu écrases mes tétons pour les placer comme t'as envie. Avec une élastique, tu les attaches ensemble, mais cet essai n'est pas réellement satisfaisant.

Le lendemain, t'as eu l'idée d'utiliser juste une seule tige pour réunir les deux tétons. C'est un peu juste, mais ça marche, et tu y rajoutes des poids, et sur mon sexe aussi. Tu m'ordonnes de me pencher en avant sur le canapé. Les poids tirent la tige, mes tétons sont étirés, les bouts sont blancs sur le téton devenu rouge écarlate - une vraie supplice pendant que ton martinet à lanières de caoutchouc me brûlent avec leurs incisions rapides dans ma chair.

Mais je divague, revenons dans la chambre avec les tiges en fin de l'après-midi. H. doit venir préparer à manger, ainsi que les crudités pour la soirée prévue avec A.

En attendant, je me suis allongée sur le lit pour faire une sieste régénératrice avant les festivités du soir.

En me réveillante, je passe te voir dans ton bureau, j'entends H. dans la cuisine.
"Ai-je le droit de te faire un bisou ?", je te demande.
"Oui !" tu me réponds, et je m'assois sur tes genoux. Envie de la tendresse... tu me fais un câlin sincère, j'adore.

Après avoir dit bonjour à H., je suis allée aux toilettes. Lorsque j'ai baissé mes panties pour faire pipi, j'ai vu une longue traînée de ma mouille entre mes cuisses qui descendait dans la cuvette, et j'ai constaté que mes panties étaient très humides... sûrement dû à mon excitation lors du placement des tiges.

"Oh, regardes, je suis complètement mouillée", je te dis, en te montrant ma culotte. "Les tiges m'ont trop excités !"
Tu te lèves pour venir voir. Et puis, je commence à te raconter une fantasme spontanée...

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"J'aimerai te baiser dans un sauna gay," je te chuchote, en avançant vers toi jusqu'à tu te trouves contre le mur.
"Oui, dans un backroom sombre et sale, parfumé avec l'odeur du sperme et de l'urine... Je serai la seule femme."
Tes yeux scintillent à l'idée, je continue à te raconter des choses, je suis une vraie allumeuse, et tu m'attrapes. Avec un geste rapide, tu soulèves ton T-shirt derrière ta nuque, façon gay, ce qui m'excite.

Tu m'entraînes dans le pénombre de la salle de bains, tes doigts se glissent dans ma culotte, je suis trempée. Tu me soulèves sur la machine à laver, et d'un geste tu descends mon pantalon, mes panties. Tu sors ta bite durcie sous les caresses que je te faisais tout au longue. Tu grognes, animale - j'adore tes petites grimaces si sexy lorsque tu frottes ta bite contre mon clito, mes lèvres. C'est obscène le bruit de ma mouille sur ta bite quand tu le tapes comme tu aimes faire parfois avec moi. C'est obscène d'imaginer tout cela, de fantasmer en s'excitant, alors que quelqu'un est dans la cuisine, et la porte est ouverte.