Saturday, July 12, 2014

Letter to Nora, 2 December 1909


2 December 1909: 44 Fontenoy Street, Dublin.

My darling

I ought to begin by begging your pardon, perhaps, for the extraordinary letter I wrote you last night. While I was writing it your letter was lying in front of me and my eyes were fixed, as they are even now, on a certain word of it. There is something obscene and lecherous in the very look of the letters. The sound of it too is like the act itself, brief, brutal, irresistible and devilish.

Darling, do not be offended at what I wrote. You thank me for the beautiful name I gave you. Yes, dear, it is a nice name ‘My beautiful wild flower of the hedges! My dark-blue, rain-drenched flower!’. You see I am a little of the poet still. I am giving you a lovely book for a present too: and it is a poet’s present for the woman he loves. But, side by side and inside this spiritual love I have for you there is also a wild beast-like craving for every inch of your body, for every secret and shameful part of it, for every odour and act of it.
My love for you allows me to pray to the spirit of eternal beauty and tenderness mirrored in your eyes or to fling you down under me on that soft belly of yours and fuck you up behind, like a hog riding a sow, glorying in the open shame of your upturned dress and white girlish drawers and in the confusion of your flushed cheeks and tangled hair. It allows me to burst into tears of pity and love at some slight word, to tremble with love for you at the sounding of some chord or cadence of music or to lie heads and tails with you feeling your fingers fondling and tickling my ballocks or stuck up in me behind and your hot lips sucking off my cock while my head is wedged in between your fat thighs, my hands clutching the round cushions of your bum and my tongue licking ravenously up your rank red cunt. I have taught you almost to swoon at the hearing of my voice singing or murmuring to your soul the passion and sorrow and mystery of life and at the same time have taught you to make filthy signs to me with your lips and tongue, to provoke me by obscene touches and noises, and even to do in my presence the most shameful and filthy act of the body. You remember the day you pulled up your clothes and let me lie under you looking up at you as you did it? Then you were ashamed even to meet my eyes.

You are mine, darling, mine! I love you. All I have written above is only a moment or two of brutal madness. The last drop of seed has hardly been squirted up your cunt before it is over and my true love for you, the love of my verses, the love of my eyes for your strange luring eyes,comes blowing over my soul like a wind of spices. My prick is still hot and stiff and quivering from the last brutal drive it has given you when a faint hymn is heard rising in tender pitiful worship of you from the dim cloisters of my heart.

Nora, my faithful darling, my sweet-eyed blackguard schoolgirl, be my whore, my mistress, as much as you like (my little frigging mistress! my little fucking whore!) you are always my beautiful wild flower of the hedges, my dark-blue rain-drenched flower.

Jim



photo © DR 

L'écrasement, ou 40 minutes de sodomie

Cet effluve, cet enivrant mélange de la sueur, du sperme, ma cyprine, ton musc, mes doigts, des traces de merde... cet émanation qui m'accable comme un fromage bien mûr.

Je te suce en humant cette mélange intense, cette odeur imbibée de phéromones, lorsque tu m'embrasses dans le trou de la cagoule - rapide et envahissif, reptilien. Ta langue me perce, tes lèvres aspirent ma langue, et tu me lâches enfin. Tes joues gonflent et *pop*,  tu souffles dans ma bouche, t'envoies ton air en moi.

Ta queue assaille ma bouche, au plus profond. J'inhale cette odeur, ce parfum unique. Tu ressors pour projeter ta salive dans ma bouche, *pop*… Surprise, je comprends que t'as craché. Apparemment j'avais souri avec une certaine satisfaction, du genre "enfin" ! Du coup, t'envoies ta salive, tu la craches dans ma bouche, trois fois pour lubrifier, pour que je puisse te sucer encore.

C'était trop, cette sensation épaisse dans ma bouche, la quantité projetée au fond... et déjà oppressée par l'effluve, je m'étouffe, je recrache en toussant.

"Orange? Vert ?" tu me demandes avec les safewords, mais je ne m’en souviens plus, j'ai juste besoin d'un verre d'eau.

///
Parti d'un jeu innocent, tu m'as posé mes poids sur les anneaux et tes pinces-poids sur chaque côté de mes tétons. Comme je me suis installée sur le canapé d'une manière que tu trouvais provocante, t'as pris ta cravache pour fouetter mes cuisses, et les bouts de mes tétons, avant de me mordre le sein.

Tu cherches une cagoule et un collier minerve dans ta chambre, que tu poses sur moi. Tu m'envoies me regarder dans la glace - j'ai l'air d'une terroriste avec ma veste militaire.
Cette veste est vite enlevée, et tu m'installes nue sur une chaise face au dossier.


///
Assise sur une chaise, face au dossier, cambrée. Le cul ouvert, exposé. Ton désire de me sodomiser.

Mais d'abord les gouttes de la cire sur mon dos, dans la raie de mes fesses; ces gouttes qui coulent autour de mon trou en me brulant et qui te satisfont tant !
Je te sens t'activer autour de moi lorsque tu éteins rapidement la bougie sur mes fesses et tu passes à l'exploration lubrifiée de mon cul avec tes doigts.


///
La pénétration est facile. Tes doigts plongent dans mon sexe en même temps; un autre s'appuie sur mon clito, et je ressens une jouissance émue, et haletante.

Tes doigts plongent dans mon cul, tu m'ouvres vers ton plaisir. Les gouttes de cire craquent sur mon dos, et sur la raie de mes fesses. Une main dans mon cul, l'autre qui me tape fort sur l'épaule.

Une "perte" d'identité - je suis devenue anonyme, ton objet. Parfois je suis Femme, parfois comme un mec gay, surtout quand tu me tapes sur mon dos.
Et puis, cette sodomie interminable à quatre pattes, pendant au moins 30/40 min. Tu gères tout, je ne dois pas regarder entre mes cuisses s'il y a des choses qui sortent. C'était plutôt clean.

"Sens ma queue qui te sodomise, sens mon plaisir", tu m'ordonnes.  Mes doigts cherchent mon clito, touchent ma vulve gonflée et si trempée— cette douceur en complément de ta rigidité puissante qui défonce mes reins.

Je suis souvent au bord d'une jouissance interrompue par tes demandes de fellation.
Je te suces. Et puis, tu recommences. D'abord dans mon sexe, ensuite dans mon cul de nouveau. (Tu t'es lavé, changement de capote).

Te sucer encore. L'effluve. Puis tu reprends mon cul dans une sodomie interminable.

Quand tu es satisfait, tu me donnes des coups de cravache sur les fesses comme une punition et je ressens un léger sens d'humiliation.

"L'écrasement", tu m'as dit.
"L'anéantissement..."





Punition n°1 - Brat ado

"Une minute, attends...", je te dis, en regardant un app sur mon iPhone alors que tu me parles du marché à Annecy le dimanche, pour que je puisse m'acheter des fruits. Dans la voiture, tu m'annonces que je serai punie au retour, et que je devais choisir l'instrument.

Toute de suite, je savais que je choisirai le fouet, pour marquer l'importance de ma première punition.

///
À ta demande, je suis allée chercher l'instrument de mon choix, et je reviens te présenter solennellement un de tes fouets.
"Bien !" tu apprécies mon choix.
Ensuite, tu me poses les chevillières. Nue, je suis assise sur la chaise face au dossier comme tu aimes me positionner.
Avec ton paddle, tu me chauffes les fesses — les coups forts pour me marquer une bonne punition. Pour empêcher mes cris, tu insères un bâillon de tissu dans ma bouche, que tu recouvres avec un bandeau kinbaku.

Debout, face au mur, je reçois tes incisifs coups de fouet sur la longueur de mon dos, les hanches, sur mes mollets... et sur mes cotes si sensibles.
J'aime le fouet même si je me tortille sous tes coups — je me délecte d'être ainsi punie, tu le sais, je crois ! Et tu sais comment le détourner.... avec les gouttes de cire qui tombent sur les traces du fouet pour raviver les sensations, et qui coulent dans la raie de mes fesses lorsque je suis à genoux, penchée sur le canapé.

Je te sens agir derrière moi, sans pouvoir te voir alors que tu me prends avec une seule pénétration rapide dans ma chatte avant d'y glisser ton plug en latex noir. Avec ta bite ainsi mouillée, tu pénètres mon cul sans ménagement — d'un coup jusqu'au bout — et je sens toute ta longueur entre mes reins, et ton plaisir de me sodomiser.

Glissée par terre à quatre pattes, tu me sodomises en continu. Avec une main, je retiens le plug dans ma chatte, qui, secoué par tes agissements, menace de sortir. J'ai envie parfois de jouir, mais je la sais interdite !

Tu m'avais pris sans capote (est-ce raisonnable ??). Tu te retires pour me pénétrer de nouveau... lentement... et cette pénétration devient un peu sèche, elle tire mon orifice. Je réclame du gel, mes doigts le cherche juste au-delà de ma limite, tandis que tu persistes à tirer cette peau fragile avec ton gland avant de m'accorder encore un peu de la lubrifiante. La punition dans la douleur pour ton plaisir, tu l'as faite exprès, je viens de le comprendre.

Tu m'encules avec des coups de reins puissants, rapides, pour y gicler. Ton sperme se répand en moi, ta lave si chaude, avant de couler entre mes fesses.

///
Tu me laisses réfléchir à quatre pattes, avec l'instruction que je pourrai enlever le bâillon, et le plug, quand j'estime que c'est bon.

J'en ai bien conscience que je t'avais manqué du respect avec l'impatience dans mon ton ado. Je sais que je suis ta chose, ton objet que tu aimes utiliser et humilier. Je suis "ta petite enculée favorite" que tu punisses ainsi quand je suis trop *brat*.

Tu reviens me gratter la cire, et sous la douche, après, tu me dis de m'isoler un moment pour me masturber et jouir, comme Marcelle dans l'armoire.



—with Lorex—