Monday, October 15, 2012

Lord of the rings

Only thirty-six hours after my session with Caly, I had an appointment for a mammography.
Of course, it would be impossible to hide the whiplashes, as I had to be topless. As for the barbells, I would have to take them out.
"That must hurt," the nurse said about the piercings.
"Only in the beginning," I lied.
The whiplashes were a vivid red on my white skin. As I took out the barbells, the nurse saw the red mark going towards my breast.
"What's that ?", she asked ?
"It's nothing, just a game, " I replied. "There's some on my back… I hope you won't be shocked."
She said nothing more as she was busy squishing my breast under the plate, positioning my arm, telling me not to breathe.
No problem with my breasts; another mammography in two years.

***
Once home, I tried to put the barbells back in, without succeeding, so I ran down to Abraxas. Since I had planned to put rings back in, stretching the thickness to 3.2mm, now was the time.
The piercer, Slobodan, suggested a ring diameter of 14mm, which would be harmonious with my breast size.
Putting them in made me cry out, more so than the actual piercing !Intense sensation for only 24 hours, then just sensitivity.

I prefer the rings to the barbells, since the rings move slightly with my movements, a more sensual experience.
So who do these rings belong to now ?? Just me, I guess.

Le seigneur des anneaux


Juste trente-six heures après ma séance avec Caly, j'avais un rendez-vous pour une mammographie.
Évidemment, il serait impossible de cacher les zébrures, car je devais être torse nu. Quant aux barbells, je devrais les enlever.
« Ça doit faire mal, » l'infirmière a dit au sujet des piercings.
« Juste au début, » je mentais.
Les zébrures étaient rouge vif sur ma peau blanche. Lorsque j'enlevais les barbells, l'infirmière a vu la marque rouge tracée vers mon sein.
« Qu'est-ce que c'est ?  », elle m'a demandé.
« C'est rien, juste un jeu, » j'ai répondu. « J'en ai d'autres sur mon dos… J'espère que vous ne serez pas choqué.  »
Elle n'a dit plus rien car elle était occupée à écraser mon sein sous le plateau, plaçant mon bras à l'endroit, me disant de ne pas respirer.
Pas de problème avec mes seins ; une autre mammographie sera prévu dans deux ans.

***
Une fois rentrée à la maison, j'ai essayé de remettre les barbells, sans réussite, alors je suis allée à Abraxas. Puisque j'avais prévu de remettre des anneaux, étirant l'épaisseur à 3.2mm, c'était le moment.
Le pierceur, Slobodan, m'a suggéré un diamètre de 14mm, qui seraient harmonieux avec la taille de mes seins.
Les mettre m'a fait crier, plus que le piercing ! Sensation intense pendant seulement 24 heures, et puis juste très sensibles .

Je préfère les anneaux aux barbells, comme les anneaux se déplacent légèrement avec mes mouvements, une expérience plus sensuelle.
Alors, maintenant, à qui appartiennent ces anneaux ? ? À moi, je crois, juste les miens.

Sunday, October 14, 2012

Maîtresse Caly / tout feu, tout flamme (VF)



Prélude///
C'est l'heure des cadeaux, et je m'assois par terre auprès de la belle Caly habillée toute en latex, avec un décolleté profond. Elle est resplendissante, comme toujours.  Une montagne de cadeaux s'étale à ses pieds, apportés par son esclave Philfri, et elle les ouvre avec enthousiasme. Je vois que ses ami(e)s l'ont gâté avec des cadeaux bien choisis.
Quand elle a terminé, je lui ai demandé s'il y avait quelque chose que je pouvais faire pour elle.
"M'offrir tes fesses !", m'a-t-elle répondu, avec coquetterie.
Ouiiiii, ma belle Caly !



Petit jeu///
Mais ce n'est pas pour toute de suite, comme elle s'amuse avec ses convives.
Un peu plus tard, je me présente devant elle.
"Princesse, va chercher le martinet avec la manche rouge !"
Dans le donjon, sur le mur des instruments, j'en trouve un avec des lanières en latex assez épaisses.
Elle le regard, en touchant les lanières, "Non, ce n'est pas celle là ! Une autre, avec des lanières plus longues."
Je cherche une autre, mais ce n'est pas celle-là non plus.
"Va chercher dans l'autre pièce !"
J'y vais, mais je ne vois rien du tout !

Je retourne la voir, en lui disant qu'il n'y avait rien. Et puis, que je pensais que c'était un jeu !
Caly rigole, car elle m'emmène avec finesse devant notre envie commune... "le fouet..." me dit-elle en souriante.

Et elle, qui est si intelligente, si fine, si Femme, si complice, a su le ressentir en moi !



Exhibition///
Complice, elle me prend par la main pour m'emmener devant la croix.
J'enlève juste mon haut, selon son envie, et je suis donc habillée avec mon corset noir, le shorty en dentelle, mes cuissardes, et mon collier avec sa laisse.

"Oh, maintenant je pourrai jouer avec tes seins !", elle exclame, en voyant les barbells qui ont remplacés les anneaux posés par D'Ange, comme il n'est plus mon D/.

En fait, D'Ange est assis au fond de la pièce, et même si j'avais eu l'envie —avant de venir à la fête— de me faire fouetter devant lui, depuis que Caly m'a dit "Tu peux m'offrir tes fesses", je ne pensais plus qu'à elle, même si cette autre envie est devenue subliminale.

Philippe et Ôda sont là aussi, plus près sur le canapé, avec leurs "choses", ainsi que d'autres ami(e)s et des convives dans le donjon.

Quelle délicieuse sensation de me faire attacher pieds et poignées à la croix par Caly ! Je suis sa proie, captive, et exhibée.

Je ferme mes yeux, et je respire.
Une pluie de double martinets descende sur mon dos, rapide, comme des pas du salsa, couvrant toute mon dos, mes fesses et les hanches, qui réveille ma peau, qui la réchauffe. Des coups forts sur mes épaules me dominent, et Caly a pris possession de moi.

J'adore sentir sa force et sa volonté. Elle vient près de moi, sa main caresse mon épaule, et elle me demande de me cambrer.
Je me glisse, les bras étirés, les mains plus bas, mais elle veut encore plus, et je glisse et je me cambre au maximum.
En deux mouvements autoritaires et sexy, elle remonte mon shorty entre mes fesses. Je crois l'entendre dire de me bouger les fesses, et j'ondule, lascive. Sa main se pose sur le creux de mon dos. Avec un regard furtif sous mon bras, je vois qu'elle tient une canne en latex noir !

Je me prépare, comme la canne, et la badine, sont toujours un peu difficile pour moi... Je retiens mon souffle... Et les premières tapotements commencent avant le premier coup cinglant qui résonne dans ma chair.
J'entends la foule qui l'encourage avec un "Olé !". Elle s'amuse avec eux, complice avec ses amis... "et celle-là est pour Ôda..."
J'accuse les coups, la douleur qui monte...
Combien de fois, je n'en sais rien !!

Avec un autre regard furtif je vois Caly changer la canne pour une badine, qui siffle avec intention sur mes fesses.... jusqu'à les rougir, les marquer de son empreinte.

Caly passe sa tête sous mon bras, elle est radieuse et souriante, "ça va?"
"Oui !", je murmure, avec un sourire.

Je me redresse.

Crackkk !!! Caly claque son fouet qui lance sa langue tout près de mon oreille, plus vite que le son, assourdissant. Une autre touche ma tête. Elle est en train de juger les distances, mais aussi, faire du show, en le claquant plusieurs fois vers mon oreille. Ça fait de l'effet !!
Je remarque que je suis en train d'attendre son fouet avec envie. Si différente que la première fois fin juin, quand tout mon être tremblait à l'intérieur, de tête à pieds, pour se terminer en larmes.
Là, je sais qu'elle veut ma peau, qu'à travers son fouet elle va m'écorcher, l'arracher jusqu'au sang, ou presque ! Je sais que ses marques resteront vives plusieurs jours, et ne s'effaceront que très lentement. D'ailleurs, certaines sont toujours visibles.
Mais là, je les veux, j'en ai envie.

Une belle femme se glisse, s'immisce entre mon corps et la croix. C'est Martine Métamorph'Ose.
"Que fais-tu là ?", je lui demande. Elle m'explique que c'est un jeu supplémentaire de précision et de complicité. Le fouet de Caly ne doit pas la toucher.
"C'est une des meilleures", me dit-elle pour me rassurer, prenant mon visage entre ses mains, en appuyant sa cuisse habillée en cuir contre la mienne, une chaleur sensuelle.

Caly lance son fouet sur mes épaules, et ce premier coup me fait gémir. Le feu entre en moi, vif, exacte… pourquoi j'aime ce feu, pourquoi je le cherche ?? Martine reprend ma tête entre ses mains, me console.
Les autres coups viennent, sur mon dos, mes hanches, vers mes seins… Mon corps danse en réaction à chaque morsure, je suis hors du temps, je ne pense plus à rien sauf ce lien avec Caly, la morsure cinglant du fouet, d'accepter la douleur et attendre le prochain coup, la surprise...
Chaque coup est le dessin artistique de son intention, zébrures et brûlures… je crie, je me tords, je ne me souviens plus de rien, la fin est un peu flou, je suis surprise que c'est déjà terminé...

Je n'ai pas encore des mots exactes pour le décrire, c'est une nouvelle dimension pour moi, c'est autre chose que mes expériences avec le fouet : l'initiation avec Philippe, la compréhension avec Miss Cha. C'est certain que je ne pourrais pas (sur)vivre le fouet de Caly, cinq ans plus tard, sans le chemin déjà tracé.

Caly me détache et je me retourne. Je vois D'Ange au fond de la pièce, il m'a l'air troublé, je crois.
J'embrasse Caly, je lui murmure : "Tu me l'as fait sortir de ma tête", comme je ne pensais plus du tout à lui, mais qu'à elle.

D'être la triomphe de sa puissance magistrale...


Postface///

"Le fouet a une vie, n'est-ce pas, princesse ?", Caly affirme, en caressant son fouet.
Notre séance était un cadeau complice, et je te remercie de tout mon cœur, ma belle Caly, tout feu, tout flamme.


photo © DR

Pour lire plus sur Maîtresse Caly :
http://maitresse-caly.blogspot.fr/ 
 

Maîtresse Caly / tout feu, tout flamme


Prelude ///
It's time for her presents, and I sit on the ground next to the beautiful Caly dressed all in latex, with a deep low neckline. She's resplendent, as always.  A mountain of gifts is spread out at her feet, brought by her slave Philfri, and she opens them enthusiastically. I see that her friends have pampered her with carefully chosen gifts.
When she had finished, I asked her if there was something I could do for her.
“Give me your ass ! ”, she answered me, flirtatiously.
Yessss, my beautiful Caly!

A little game ///
 

But it's not for now, as she's having fun with her guests.
A little later, I go back to her.
“Princess, go find the flogger with the red handle! ”
In the dungeon, on the wall covered with her instruments, I find one with rather thick latex straps.
She looks at it, touching the straps, “Not, not that one! Another one, with longer straps".
I find another one, but it is not that one either.
“Go look in the other room! ”
I go there to look, but I don't see anything at all!

I return, telling her that there was nothing there. And then, that I thought that it was a game!
Caly laughs, because she's cleverly brought me to our common desire… “the whip…” she says to me, smiling.

And she, who's so intelligent, so subtle, so Feminine, so playful, knew how to feel it in me!

Exhibition /// 

Playfully, she takes me by the hand to the front of the cross.
I remove just my top, as she wishes, and so I'm wearing my black corset, the lace shorty, my cuissardes, and my collar with its leash.

“Oh, now I will be able to play with your breasts! ”, she exclaims, when she sees the barbells which have replaced the rings placed by D'Ange, as he is no longer my D/.

In fact, D'Ange is sitting at the end of the room, and even if I had wanted —before coming to the party— to be whipped in front of him, once Caly said to me “You can give me your ass," I didn't think about anything but her, even if this other desire became subliminal.

Philippe and Ôda are there too, sitting closer on the couch, with their “things," as well as other friends and guests in the dungeon.

What a delicious feeling to be attached, hands and feet, to the cross by Caly! I am her prey, her captive, and exhib'.

I close my eyes, and breathe.
A rain of double martinets falls on my back, rapid, like steps of the salsa, covering all my back, my ass and thighs, awakening my skin, warming it. Strong blows on my shoulders dominate me, and Caly took possession of me.

I love to feel her strength and her will. She comes close to me, her hand caresses my shoulder, and she asks me to arch my back.
I slide down, stretching my arms, lowering my hands, but she wants me to arch even more, and I slide and arch my back to the maximum.
In two authoritative and sexy movements, she pulls my shorty up between my cheeks. I think I heard her tell me to move, so I undulate, lascivious. Her hand is placed on the hollow of my back. With a furtive glance under my arm, I see that she's holding a black latex cane!

I focus, as the cane, and the badine, are always a little difficult for me… I hold my breath… And the first taps start before the first stinging blow which resounds in my flesh.
I hear the crowd encouraging her with an “Olé!”. She's having fun with them, playing with her friends… “and this one is for Ôda…”
I take the blows, and the pain increases…
How many times, I don't know!!

With another furtive glance, I see Caly changing the cane for a badine, which whistles with intention on my ass…. reddening them, making her imprints.

Caly looks at me under my arm, she's radiant and smiling, “is everything ok? ”
 “Yes! ”, I murmur, with a smile.

I straighten up.

Crackkk!!! Caly cracks her whip which licks its tongue very close to my ear, faster than the speed of sound, deafening. Another strikes my head. She's calculating the distance, but also, making a show, by cracking it several times by my ear. What an effect!!
I realize that I'm waiting for her whip with desire. So different than the first time at the end of June, when all of my being trembled inside, from head to toe, ending in tears.
Now, I know that she wants my skin, that through her whip she will skin me, tearing it for blood, or almost! I know that her marks will remain vivid for several days, and will disappear very slowly. In fact, some are still visible.
But now, I want them, I desire them.

A beautiful woman slips, slides herself between my body and the cross. It is Martine Métamorph'Ose.
“What are you doing here? ”, I ask her. She tells me that it's an additional game of precision and complicity. Caly's whip should not touch her.
“She's one of the best," she says to reassure me, cupping my face in her hands, pressing her thigh covered in leather against mine, in sensual warmth.

Caly strikes her whip on my shoulders, and this first blow makes me moan. Fire enters me, sharp, exact… why do I like this fire, why  do I seek it?? Martine takes my head between her hands, comforting me.
Other strikes come, on my back, my hips, towards my breasts… My body dances in reaction to each bite, I'm timeless, I think of nothing except this link with Caly, the stinging bite of the whip, accepting the pain and waiting for the next blow, the surprise…
Each strike is the artistic drawing of her intention, zébrures et brûlures…  I cry out, I twist, I remember nothing, the end is a little fuzzy, I'm surprised that it's already over…

I don't have the exact words yet to describe it, this is a new dimension for me, something different than my other experiences with the whip: the initiation with Philippe, the comprehension with Miss Cha. For sure, I wouldn't be able to survive Caly's whip, five years later, without this path already travelled.

Caly releases me and I turn around. I see D'Ange at the end of the room, he seems troubled, I think.
I embrace Caly, I murmur to her: “You got him out of my head," as I wasn't thinking of him at all, but only of her.

To be the triumph of her masterly power…


Postface ///
“The whip has a life of its own, doesn't it, princesse? ”, Caly affirms, stroking her whip.
Our session was a gift of complicity, and I thank you from the bottom of my heart, my beautiful Caly, tout feu, tout flamme.


photo © DR

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