Sunday, March 27, 2011

Posture (VF)

© Tous droits réservés by Les Goûters du Divin Marquis


Tu T'es levée pour chercher un de Tes instruments, et Tu reviens avec le martinet en lanières de latex. Sans dire un mot, Tu écartes mes jambes et Tu places mes mains ouverts sur mes genoux. Tu me positionne le dos, en me disant de me pencher la tête en avant, les yeux fermés. Je reconnais dans Tes gestes le début d'un plus stricte discipline avec des postures. Je n'ai qu'à t'obéir et ne plus bouger. Dans ma tenue de catwoman en latex (cagoule, porte-jarretelles et bas), c'est un délice de sentir les lanières en latex sur mes seins. La contrainte du latex, la contrainte de la posture, et Ton intention à travers les lanières en latex. J'aime sentir Ta maitrise sur moi, Ta rythme d'attaque avec des coups forts et lourdes vers mon épaule... j'aime ces lanières sauvages qui frôle le bout de mes seins tels un rasoir. Un coup comme un patte de chat sur mon nez Te fais changer la posture avec la tête en arrière. Moins facile à tenir la tête en arrière sans faire une crampe. Je me souviens de ma torticolis à Rome, à force de regarder les plafonds baroques, ou bien lors de certains postures à répétition avec la tête en arrière dans le yoga kundalini. J'ajuste ma nuque et je me détends. De ma vision intérieure je me concentre sur "le point dans le ciel". Je maintiens la posture, envie que Tu sois satisfaite. Tu bouges le tabouret pour mieux frapper ma côté droite. Je gémisse à chaque coup selon leur intensité, mes gémissements moins fort que la bande sonore de la pestacle derrière moi. La chaleur radie sur mes bouts de seins, leur galbe, les épaules et le haut de bras. J'aime me sentir ainsi offerte, exposée, une sculpture vivante. J'aime sentir Tes émotions qui traversent les lanières. Tu poses le martinet autour de mon cou, et je maintiens la posture. Tu reviens avec des petites pinces que Tu poses sur mes tétons et autour de mes seins. Prise, les sensations irradient, me rappellent les aiguilles en moins fort. Oui, j'avoue d'avoir envie des aiguilles de nouveau ! Je Te sens près de moi, assise. Tu discutes un peu avec Red. J'aime être Ton œuvre exposé, je me sens calme. Tu enlèves les pinces, Tu me nettoies les seins avec une lingette. Tu m'autorises d'ouvrir mes yeux. Émue, je me mets à quatre pattes pour t'embrasser les pieds. Je T'embrasse, Tu me baise le front.
" Ça commence à prendre forme", me dis-Tu.

Posture

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You rose to get one of Your instruments, returning with the martinet with latex straps. Without saying a word, You spread my legs, placing my hands open on each knee. You position my back, telling me to lower my head and shut my eyes. In Your gestures, I recognize the beginning of a stricter discipline with positions. I only need to obey You and not move. In my latex catwoman attire (mask, garter-belt and stockings), it's delightful to feel the latex straps on my breasts. The constraint of the latex, the constraint of the posture, and Your intention through the latex lashes. I love to feel Your domination over me, Your rhythm attacking with strong and heavy blows to my shoulder... I love the wild lashes that barely touch the tips of my tits, like a razor's edge. A blow on my nose like a cat's paw has You change the position of my head, tilted back. More difficult to hold my head back without creating a cramp. I remember the cramp in Rome from looking at the baroque ceilings, or in Kundalini yoga during certain repetitive asanas with the head held back. I adjust my neck and relax into it. With my inside vision, I concentrate on "the point in the sky". I maintain the posture, wanting that You be satisfied. You move the stool in order to strike my right side. I moan with each stroke according to its intensity, my moans not as loud as the sound of the spectacle behind me. Warmth radiates from my tits, the curve of my breasts, my shoulders and upper arm. I love to feel offered this way, exposed, a living sculpture. I love to feel Your emotions that flow through the straps. You place the martinet around my neck, and I maintain the position. You return with some tiny clamps that You place on my tits and around my breasts. Taken, the sensations radiate, reminding me of your needles, but less intense. Yes, I admit that I desire Your needles again ! I feel You sitting near me. You chat with Red. I love being Your work, exposed, and I feel calm. You remove the clamps, You clean my breasts with a lingette. You allow me to open my eyes. Moved, I get on my hands and knees to kiss Your feet. I kiss Your cheeks and You place a kiss on my forehead. "It's beginning to take shape", You tell me.



Tuesday, March 22, 2011

Catwoman

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Sunday, March 20, 2011

Those exquisite electric moments / Des exquis moments électriques


An electrical box in the back room.
Choupinette was screaming bloody murder as the electricity went thru his tits. He couldn't take it anymore, so Choupinou untied him, and he leant back, visibly spent.
A glint came into Miss Charlotte's eyes as she saw the box, and then the clamps went on my tits. She took command from Choupinou & gently turned the dial.

Tiny pricks becoming pulsations as she increased the power. "Go ahead" I whispered, as it wasn't very strong.
The pulsations increased, very pleasant, the sensation reminding me of a baby sucking on my tits.
I could take more, so she upped the power... Wow ! So orgasmic I could climb the wall !
She stopped, then sent me back up !
Bordering on orgasm, I could imagine being tied up or attached, the electricity flowing, and if I was caressed or probed, just what that orgasmic potential could be.
And if my tits were pierced ....

Remembering the time at Mario's, how the electricity felt rolling, how I cried out in surprise & self-consciousness in the restaurant, although the sensation was pleasant.

Seems like something to be explored.

***

Une boîtier électrique dans l'arrière-salle.
Choupinette criait comme si on l'assassinait lorsque l'électricité passait à travers ses tétons. Il n'en pouvait plus, donc Choupinou l'a détaché, et il s'est appuyé en arrière, visiblement épuisé.
Une lueur scintillait dans les yeux de Miss Charlotte quand elle a vu la boîtier, et puis les pinces étaient posés sur mes tétons. Elle a pris le commande de Choupinou & elle a tourné doucement le bouton.

Petits picotements devenaient des pulsations quand elle a augmenté la puissance. "Allez-y murmurai-je, car il n'était pas très forte.
Les pulsations augmentaient, très agréable, la sensation de me rappelait un bébé qui tétait sur mes seins. Je pourrais prendre encore plus, alors elle a fait monter la puissance ... Wow! Si orgasmique que je pouvais grimper aux murs !
Elle s'arrêtait, puis elle m'a envoyé très haute de nouveau !
Au bord de l'orgasme, je pouvais imaginer d'être attachée ou encordée, l'électricité qui me parcourt, et si j'étais caressée ou sondée, comment pourrait être ce potentiel orgasmique.
Et si mes tétons étaient percés ....

Le souvenir de chez Mario, quand l'électricité me semblait roulant, comment j'ai crié par surprise et aussi par embarrassement dans le restaurant, même si la sensation était agréable.

J'ai l'impression que c'est quelque chose à explorer.