Thursday, March 02, 2006

Dédicace

2 Mar 2006 16:34:15

Ma belle princesse perverse,

Comme je te l'ai susurré tout à l'heure, je t'ai dédicacé ce matin, alors que je me suis réveillé trop tôt, les longues et sensuelles caresses que je me suis prodiguées.
Pendant tout le temps que je laissais monter lentement le plaisir, je t'ai imaginée dans toutes les positions. Les positions les plus diverses, debout les bras en l'air, assise les bras derrière le dos, couchée les bras le long des cuisses, à quatre pattes... la constante, dans toutes ces positions était que tu avais les bras toujours attachés. Tu étais toujours soumise à ma volonté. Et dans chaque position, je te faisais sentir cette soumission, ma belle princesse. Soit en te fouettant, soit en te sodomisant profondément, soit en te pénétrant, soit en m'enfonçant dans ta bouche, sans que tu ne puisses te soustraire à ce que je t'infligeais.

Bizarrement, ce coup-ci, il n'y avait personne d'autre que nous deux. Pas de chauffeur voyeur-baiseur-fessé, pas de clients d'une boite à partouze, rien que nous deux.
C'est la juxtaposition de deux images qui m'a fait jouir intensément, sans que je ne puisse me retenir... :

La première, réelle, est celle que tu m'as offerte lorsque je suis arrivé chez toi l'autre jour et que tu t'es mise à 4 pattes sur ton lit. Ta vulve magnifique, douce, blanche, nacrée m'hypnotisait et au fur et à mesure que je la choyais et la chérissais, j'ai vu couler lentement l'expression de ton désir. C'était magnifique et très émouvant.
La deuxième est fantasmée (et j'espère très bientôt réalisée) : tu es debout. Les lourdes boules de geisha enfoncées dans ton intimité. Un plug enfoncé dans tes fesses. Tu remontes une jupe serrée sur tes cuisses puis sur tes fesses. Tu marches dans la pièce pour me montrer le spectacle de tes fesses qui roulent au dessus de tes jambes, sur tes hauts talons, puis tu reviens vers moi et t'offres pour que je te cravache sévèrement. Quand je te l'ordonne, tu repars faire un tour pour t'exhiber encore, puis tu reviens chercher ta punition à la cravache. La cravache mord aussi bien tes fesses que le bas de ton ventre, le devant de tes cuisses. Je t'interdis de te toucher... Puis on passe à autre chose...

T'imaginer aussi soumise, lors de ce défilé pervers, et aussi émouvante lorsque tu me montres ton sexe qui perle doucement de gouttes de plaisir... Les images se sont mêlées ensembles, ont tourné dans ma tête et j'ai senti la chaleur monter entre mes jambes avant de trembler longuement, alors que j'étalais mon sperme brûlant sur mon ventre. J’ai rêvé de ta langue, de tes lèvres, sur mon ventre et je me suis rendormi, je crois bien.

Je t'embrasse avec tendresse, ma princesse.


—with Phallus—

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